Pour commencer, voici la toute première floraison de cette pivoine que j’avais plantée comme une sauvage il y a quelques années et qui n’avait jamais fleuri. Je l’ai replantée l’année passée dans de la bonne terre riche et ses fleurs valent tous les remerciements du monde! On dirait un gros dessert:
Voici Julia’s Rose, au top 3 de mes rosiers préférés, avec sa couleur indescriptible, mêlant beige et rose pâle. Une vraie poésie qui contraste bien avec la spirée goldflame.
New Dawn, le tout premier rosier planté au jardin, il y a 3 ans! Je le retrouve toujours avec un immense plaisir.
La toute première rose de Herzogin Christiana, planté l’automne dernier. Il est parfait et si pur!
Cette photo ne rend pas justice à Honeymilk, dont on ne sait dire s’il est très légèrement rose ou jaune. Un mélange des deux, sans doute, mais en tous les cas, c’est un miniature! Trop mignon.
Dainty Bess, en toute simplicité, avec ses magnifiques étamines foncées:
Un petit peu déçue de Marlène Charrell, que j’allais guetter tous les jours. Il a tellement plu que la fleur est un peu pourrie. Mais bon, il a plein d’autres boutons en réserve. Encore un peu de patience…
Et enfin, l’inratable Ghislaine de Féligonde, explosant en boutons jaunes virant au blanc. Un rosier d’une qualité remarquable!
Penny Lane avec son look tout chiffonné qui lui donne tant de grâce!
Eyes For You, acheté à Turin ce printemps, fleurit pour la deuxième fois (la première en Italie, la deuxième ici en Suisse). Il semble s’être bien accoutumé! Il a un petit look d’hibiscus, je trouve.
Alors là, il faut qu’on m’explique. Schloss Eutin, dont la rose typique est à gauche, sort exactement sur la même branche une rose qui n’a rien à voir du tout, tant en forme qu’en couleur. Si quelqu’un a une explication, je prends volontiers!
Le prochain, qui fait décidément durer le suspense, c’est Pierre de Ronsard. Il dort un peu sur ses lauriers cette année!
Et là, alors là… je suis super contente! Mon câprier, rapporté du Sud de l’Italie, m’offre de jolis boutons et sera bientôt en fleurs! Il a un peu souffert du climat hivernal suisse. En effet, toutes ses pousses avaient brûlé au soleil quand je l’ai sorti de mon couloir qui était trop sombre.
Je finis ce billet par une photo peu poétique, celle de mon compost. Mais regardez bien… voilà plein de jolis plants issus des pommes de terres que j’avais jetées! Miam, cet automne, j’aurai de bonnes patates maison pour ma soupe 🙂 Si la courge ne se fait pas ratiboiser par les limaces, cela donnera une bonne association!
Bon début de semaine à vous!