On l’avait déjà constaté sur le calendrier, mais la nature confirme : c’est l’automne! Des touffes de champignons émergent grâce aux spores qui étaient dans le paillis. Pas des bons champignons, hélas, mais c’est quand même joli!
Les couleurs commencent à tirer sur le jaune. L’allée se recouvre de feuilles:
Un cœur rouge pour cet érable japonicum aureum, qui aura bientôt totalement changé de couleur! D’un côté, j’ai hâte… mais de l’autre, ces belles couleurs sonnent le repos hivernal de la nature et la prochaine chute des feuilles.
Caché parmi les feuilles, un cyclamen! J’avais planté de nombreux bulbes voici deux ans et rien n’était sorti. Cette année, j’en ai deux!
Viburnum plicatum est passé du vert au rouge en l’espace de quelques jours. C’est l’une des stars de l’automne!
Le feuillage de cette pulmonaire est saisissant de beauté, à l’heure où les plantes ont tendance à se racornir. Après un troisième essai, c’est la seule pulmonaire qui ait tenu le coup au jardin!
La floraison double du thalictrum, à droite, tient bon. Le relais sera bientôt pris par ce formidable aster purple dome, couvert de boutons!
La maison parmi les cynorrhodons et les branches pourpres du Physocarpus opulifolius summer wine:
La fourrure de Minette s’accorde bien avec l’automne! On voit toujours très (trop) bien le jardin depuis la route. Je me réjouis que les arbustes prennent de la hauteur et fassent écran.
Une vue romantique de la fontaine, qui s’est fissurée au milieu durant l’hiver dernier. Il faudra trouver une solution pour éviter que son état ne s’aggrave… par exemple la vider totalement pour éviter que l’eau gelée ne la malmène:
Le coin le plus ancien du jardin : les plantes les plus âgées viennent de passer leur quatrième été. Les trois dernières années ayant été sèches, elles n’ont pas profité autant que je l’aurais voulu:
Un petit avant-après, soit 2012-2017… cinq ans d’écart.
Les sceaux de Salomon, plutôt que de tomber au sol, se délitent peu à peu sur pied et forment une sorte de dentelle:
J’avais déterré puis mis en pot cet aster, ratiboisé par les limaces. Néanmoins, il a tenu à contribuer à la coloration de l’automne en sortant UNE fleur 🙂
En parlant de couleur, le flamboyant chrysanthème offert par ma maman:
Une vision un peu mélancolique mais jolie…
J’ai déjà publié cette vue il y a une semaine, mais je trouve les couleurs tellement belles et variées! Je suis contente de cette association (dahlia after eight, spirée bleue, lathyrus vernus et graminée pennisetum alopecuroides hameln. Elle n’a pas fleuri cette année car je l’ai transplantée au beau milieu de la saison).
Je ne me lasse pas de vous vanter les qualités de ce rosier Pomponella, que j’adore, avec ses roses qui ne s’ouvrent jamais totalement.
Chèvrefeuille, aster Marie Ballard et rosier aspirin. Avec une courge qui s’est invitée là…
Lorsque j’ai planté ce buddleia alternifolia, il y a 1 an et demi, il ne dépassait même pas le mur. Regardez-le maintenant! L’année prochaine, il fera vraiment un bel écran devant ce paysage pas très séduisant. Une magnifique cascade de fleurs en prévision l’année prochaine! J’ai hâte!
Les micro-fleurs de cette persicaria, timide cette année (je l’ai déplacée aussi, sinon elle aurait été engloutie dans la verdure). Une plante étonnante : des tiges et des fleurs… mais aucune feuille!
Je suis un peu déçue par mon houx panaché : aucune jolie baie rouge cette année, pour égayer durant l’hiver! En revanche, l’hortensia grimpant, âgé de trois ans, commence à bien tapisser le mur. On ne peut pas tout avoir.
Et pour continuer dans la douceur, une petite minette qui dort dans un duvet fraîchement lavé. Pas folle, cette petite bestiole 😉 Je vous souhaite plein de douceur également et vous dit à bientôt!